6 Juin 2015
Rentrer chez soi après une dure semaine de déplacements et obligations professionnelles multiples et découvrir deux enveloppes siglées "élection municipale", une pour moi et une pour mon épouse. L'ouvrir en toute hâte croyant à un document officiel. Y trouver la bobine inénarrable du triste sieur Aeschlimann et sa propagande inimitable (sauf en Corée et au Congo).
Il n'y a pas à dire, pour tromper l'electeur, ce type a plus d'un tour dans son sac.
VIGILANCE, AMIS! LA TRICHR N'EST PAS MORTE ELLE MUTE.