12 Juillet 2009
Habitants des Hauts d'Asnières, vous qui partagez ce vivant quartier des Hautrs d'Asnières avec Sébastien Piétrasanta, moi-même, trois autres de ses adjoints et de nombreux conseillers municipaux de la majorité comme de l'opposition, à la veille des festivités des 13 et 14 juillet, notre maire, et toute la municipalité ont souhaité vous adresser un courrier par ma voix.
Le courrier que je vous ai adressé est ici.
Les esprits chagrins, les mauvaises langues, ceux qui hier se sont détournés de notre quartier et aujourd'hui veulent se faire ses meilleurs défenseurs sont à nouveau à l'œuvre.
Trait d'Union se met en quatre pour les habitants. Et assèche par la même occasion la gorge des médisants.
La piscine à un euro se déroule sans heurt dans la joie et l'entente des familles venues de toute la ville. Cela désespère ceux qui étaient prêts à entonner la complainte éternelle des âmes charitables soucieuses du bien être de notre pauvre quartier avec leurs larmes de crocodile habituelles.
La grande et belle association du Conseil des familles des Freycinets a organisé hier sa fête annuelle du village. Une belle fête, malgré les difficultés d'organisation qu'ils ont dû surmonter bien malgré eux. Là aussi, tout s'est bien passé dans l'entente et la cohésion : enfants jeunes, adultes et séniors, tous ensemble pour leur quartier.
Cela peut durer. Cela doit durer. N'en déplaise à ceux qui ne s'intéressent à nous que quand ça va mal.
Alors les 13 et 14 juillet, faisons la fête tous ensemble. Donnons-nous rendez-vous au Parc Robinson. Asniérois tous, Asnérois ensemble pour une même et unique fête.
Nous rejetons l'ostracisme qui nous a frappés des années durant. Des années pendant lesquelles, dans une générosité hypocrite, on nous a tenus éloignés du reste des asniérois, confinés dans notre quartier, distraits par des "pétaraderies" artificieuses pendant que la fête, la vraie, se jouait ailleurs.
Faisons la fête ensemble. Faisons vraiment la fête. Ne laissons aucune provocation de quelque sorte nous détourner de cela.