23 Septembre 2014
Ainsi à Asnières, sous Aeschlimann, plus de 24h après que la page officielle du Twitter municipal a injurié une Asniéroise, et avec une vulgarité outrancière, il n'y a toujours pas une excuse officielle, une explication qui tienne la route, un communiqué du maire pour prendre en considération la réprobation unanime de ses administrés. Ni l'émotion de l'administrée injuriée, ni l'écoeurement des asnierois outragés, ni l'honneur de notre ville une fois de plus bafoué, non, rien n'a réussi à ébranler jusqu'ici le silence coupable où s'est réfugié le maire, un silence devenu une misérable feuille de vigne incapable de cacher la nudité et la honte de politiciens indélicats jusque dans le muet aveu de leur faute. Tourner le dos à la vérité pour chercher le mensonge qui habillera le déshonneur est une grossièreté de plus.
Asnières veut laver son honneur et espère que ce sera bientôt, dans les urnes.